Pour y parvenir, il serait utile de commencer par le processus d’optimisation en faisant intervenir les gammes comportant tous les éléments nécessaires pour usiner une pièce.
Face à un environnement hautement concurrentiel, l’industrie d’aujourd’hui se doit de s’assurer tous les moyens lui permettant d’améliorer sans cesse sa compétitivité. Pour y parvenir, il serait utile de commencer par le processus d’optimisation en faisant intervenir les gammes comportant tous les éléments nécessaires pour usiner une pièce. C’est du moins ce que pense Loetitia Behana, ingénieur en génie industriel et Master 2 en gestion de la production, logistique.
A l’en croire, fiabiliser les données techniques consiste entre autre à faire une phase de collecte à travers laquelle les acteurs de la chaine détermines les références à ‘’problème. Une fois celle-ci faite, écrit l’ancienne étudiante de HESTIM (haute école supérieure des sciences et technologie de l’ingénieur et du management) de Casablanca, il est nécessaire de faire le setup des machines et implantation actuelle. « Elle nous permettra de savoir sur quel poste agir en fonction des références identifiées comme cause de notre non efficacité ou non efficience. En outre il est nécessaire d’intégrer tous mes maillons de la chaine de production dans le projet et de travailler en étroite relation avec les méthodes pour des mises jour régulières », explique Loetitia Behana.
En raison de l’évolution des exigences du marché qui se traduisent par une diversification des produits manufacturés, une réduction des délais de fabrication et une diminution des prix, il est indéniable que pour maîtriser ces contraintes, les données techniques s’avèrent indispensables pour confronter les différentes exigences du marché et les problèmes à résoudre
La fiabilité des données techniques est un concept dont le but est de quantifier l’impact de la fiabilité des données techniques sur la rentabilité. Ce concept est une nouvelle approche ‘’Lean’’ visant à optimiser les gaspillages et les activités à valeur non ajoutées de manière curatives dans la mesure où l’on agit sur la racine du problème.
CH